AutocarS Citroën 60 DIP série T.C - 1966 Heuliez

André Citroën part pour les Etats Unis le au 8 Octobre 1931  pour assiter au 8 ème Congrés des Industries.
Il est le rapporteur pour l'industrie automobile mondiale.

Celui-ci avait vingt d'avance est constitua le 27 Octobre 1931, le conseil d'administration de la futur Société Anonyme pour l'exploitation des Autocars pour constituer la sociète des Transport Citroën de voyageurs. Dirigé par Paul Joseph directeur de la jeune Socièté jusqu'en 1960. Conserve sont mandat de Président du conseil d'Administration des Transport Citroën, s'éteint à Paris en 1967 après 36 ans de vie commune. Les Transport Citroën lui survivront de 10 encore.

Le décord est planté, parlons de ces fameux Autocars Citroën conçu en 1930 au départ sur des châssis dérivés de voitures C 6, lance le poids lourds d'une charge de 1800 kg, le premier vrai camion rapide français de faible tonnage avec un 6 cylindres, qui devient avec un tonnage de 2 tonnes le fameux C6 G1 2 tonnes ( 22 places ) la base des célèbres cars bruns à bande orange. Qui se nommés encore à l'époque "autobus".


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Je ne vais pas vous raconter tout l'historique sur Citroën ( Ouf) , mais simplement: l'histoire du car de jean

Un car en lisière de forêt quelque part en France, notre Jean passa devant tous les jours, pendant plus de 32 ans, il s'y arrêta souvent pour voir sa dégradation par la rouille, le temps, le vandalisme, ainsi de suite.

Puis un jour il décida de le chercher pour le restaurer définitivement, il en avait envie, c'est vrais pourquoi un gros engin pareil, il faudra bien le mettre dans la cour chez lui, construire un hangar autour, pour le refaire a neuf. Je dis bien a neuf.

A lui tout seul et ces connaissances sur le sujet Citroën, il appris chez les gens de chez Citroën comme mécanicien, puis chef d'atelier, pendant toute sa vie professionel dans un garage Citroën, il y consacre toute sont énergie pendant plus de 10 ans a démonter, couper, remplacer, reconstruire, mastiquer, protéger, peinturlurer, je passe les métiers.

Tout seul comme un auto-ditacque de mécano, sans l'aide de personne, tout le village se demanda bien sur s'il y arriverait a le finir un jour, il y eu cette accident ou il tomba de l'échafaudage pendant les travaux, qui lui bloqua le dos pour un moment. Reprenant des forces, au calme après la construction du hangar, il entreprit d'abord de le chercher au fond de cette lisière de forêt avant de le démonter.

Toute une histoire a elle seule, il y a passa plusieurs séances pour remettre en état le minimum pour le rammener par la route, car le monter sur une remporque, imposible il n'en connait pas, ces tout bonnement le meilleur moyen de voir sont état de fonctionnement réelle.

Mais entre temps des voyous détrisaient les lampes qu'il venait d'installer, les clignotants ainsi de suite, il a fallut si prendre a plusieurs reprises, il installa une batterie, tira des files neufs pour les lumières, purgea le circuit de gas- oil, du circuit d'eau, bref vous connaissait tous les maneouvres pour démarer un engins au rêpos forcer de plus de trente bonne et longue années!!!!  

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Seul dans un coin de cette belle france

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Puis enfin devant sa maison.

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Et enfin au sec dans le hangar construit pour le renover.

Et le jour J du rappatriement, il tomba dans une ambuscade, un gros contrôle régional des Services de Douane.

Le moteur démara du premier coup, les feux de positions ainsi que les phares les clignotants clignotes a volontés. Il part, pris la route, direction Vesoul et tomba sur des barages de policiers, de gendarmes, des Douaniers, d'Inspecteurs d'Inspections du Ministères des travaux pas encore commencés, vous voyez ce que je dire, notre Jean qui tomba 9 fois ( Neuf ) sur des barrages pour contrôle des douanes, car ils eurent vent d'une affaire de contre-bande sur la région, mais il n'avait pas de freins, seulement le Telma qui fonctionne a merveille, les freins était bloquer ouvert par la rouille, impossible de débloquer les machoires.

La suite demain  

  Intéressant, mais illisible!   

Parfait ! J'en tiendrais compte.

Le sujet va s'éclaircir avec les détails qui suivrons , désolé je ne suis pas un de ces grands Journaleux, et encore moins scripte.

J'ai planté le décor, l'entrée en matière n'est pas évidant tout simplement. Je fait avec mon BAC + 45 années d'expériences.

Les photos sont du propritaire lui même, retoucher par mes soins, pas toujours" clar y net ".  

Servaz74 a écrit:  Intéressant, mais illisible!   

Je ne suis pas de cet avis, cette histoire est chargée de beaucoup d'émotion.

Hâte de lire la suite


Gé

Servaz74 a écrit:  Intéressant, mais illisible!   

Bonjour ,

Intéressant ! ... donc compréhensible !
Ici chacun fait avec ses moyens ... alors merci Pépé pour cette vraie aventure , j'ai envie de connaître la suite !

Comme Pierro & Moulino, je n'ai pas eu de problème de lecture et surtout j'ai hâte de connaître la suite.
Mieux vaut un récit qui vient du cœur qu'une fadaise au style ampoulé (en 6v, bien sur!!   )

Merci,

Voici la suite, demain j'aurais oubliè ce que je voulais écrire sur Jean avec sont car.

Donc il démare de la lisière de la forêt pour ramener sont engin fier comme un mécano de chez Citroën.
Le tout sans frein direct.

Mais d'un coup un barage de Gendarmerie. avec la douane en plus.  
Zut, aprés tout il ce dit qu'il est en régle.
La concience tranquille il s'arrête, ouvre la vitre est demande ce qui se passe,  le gendarme lui demande les papiers du véhicule est contrôle tout, lui demande ou il va!
- Pas loin, je ramène ce tas de ferraile chez moi au garage.
- Sic lui dit le gendarme,  il y aura du travail, passer.
Le fin du fin de l'histoire, il c'est fait arrêter 8 fois encore, il y avait ce jour là un grand contrôle de Douane sur le département, avec Ministre est tout le tralala qui va avec.

Au dernier contrôle avant Vesoul,
- Il demanda au Chef des douanes pourquoi tout ces contrôles !
- Celui-ci lui dit on fait notre boulot, il lui conseilla de quitter le grande route de passer par les petites départementales
Mais avant de partir, un des ponte vint a sa hauteur, lui demande un contrôle complet. Notre Jean pas dégonfler lui repondu
- Cela fait neuf fois que l'on m'arrête, j'arriverais jamais chez moi, je n'ai rien à déclarer
celui-ci lui répond,
- Je vais vous donner un laisser passer, comme cela vous pourrais faire votre travail correctement !
Sympa lui dit Jean Merci .....   

C'est comme cela que notre Jean, tout fier arrive chez lui est arrête sont car dans sa cour.

Si cela vous est déjà arriver, vous pouvez comprendre les gouttes de sueur sur votre frond.

A demain........ si vous voulez bien.



Ce passage là, il n'arrête pas de le raconter à chaque qu'il parle du rappatriement de sont car.

Belle histoire !

BRAVO Jean !!!!   

C'était en quelle année ?

Hahaha superbe histoire qui m'en remémore une.

Je ramenais le U23 Fontaine d'un garage a caravane ou son ancien propriétaire l'avait entreposé.
C'était a une vingtaine de km de chez moi
Le U était assuré, mais pas de controle technique.
Les freins ? Pas sur non plus qu'il y en avait    
Il manquait des vitres et je n'avais jamais conduit un tel Engin.

A quelques kilomètres de la sur la nationale que vois-je : Les gendarmes"    

Moi : je me dis Gégé tu est fait comme un gardon    

Ben non, la maison poulagas arrète mon ORNI*, papier siouplé ....
Ben msieur chui pas en règle, je ramène le bestiaux au bercail pour une grande restauration.

Eux ..... nous le savons bien car nous nous sommes déja rencontrés au garage a caravane ou ils faisaient une ronde car il y avait eu des vols dans les garages.

Eux .... on comprends bien et ça nous fais plaisir de le voir rouler a nouveau ce vieux pépère, et si vous avez un soucis en arrivant sur Reims avec des collègues, dites leurs de nous appeler pour arranger la chose.

L'histoire du bus a Jean réveille donc en moi des trés bons souvenirs, et des histoires comme cela beaucoup d'entre nous pourraient en raconter, quand on tombe sur la maréchaussée, on a souvent affaire aussi a des passionnés tout heureux de croiser des véhicules différents de leur quotidien.

Maintenant on attends la suite de cette belle restauration en images et si tu as une photo du Jeannot a l’œuvre ce serait un plus.

Merci pour le partage

Gé



*Objet Roulant Non Identifié

de 1966 - 1967 il passe devant presque 32 ans
en 1999 il le rappatrie,commence le hangar et la restauration.
de 2000 à 2010 il restaure le car 60 DIP TC.

depuis 2010 il se promène avec, et c'est là que j'ai eu le coup de foudre pour Jean et sont histoire.

Il est connu jusqu'a à la direction de Citroën, il l'invite de temps à autre avec le car pour le montrer mais surtout
comme il dit : Aucune éducation sur l'automobile, les Futurs Directeur, ils sortent tous de HEC.

Il s'imagine que les anciens sont dépasés, ils ont faient avec les mains ce que aujourd'hui ils font tous avec l' informatique.

J'attend encore des commentaires de Jean sur les expliquations de certaines photos, puis je vous informerais de l'avancement du sujet.

A bientôt, les passionnés de chez citroën.

Le 6 septembre l'association de l'ACAARE dont je suis membre organise une week-end Passion Camions.
Cela se fait a guichets fermés, hélas plus de deux cent participants, mais ceux qui seront en Alsace ce jour là du coté du sud  de Colmar, pourront entrevoir un va et vient d'anciens camions et de passionnés de Berliet , Man, Saurer, Willème, j'èspère de Bernard, de Renault, de vieux Delage utilitaires.
Je posterais un petit reportage la dessus sur ce qui est des Citroëns bien entendu.

Je répond aux messages personnels pour divulguer l'endroit de cette réunion.

Que du succés avec cette histoire de Jean et sont car Citroën 60 DIP T.C.

Bien entendu, j'ai plein de photos là dessus.
J'ai scanné toutes les photos de ces deux albums (100 par albums), qui partent en 'lambo' r , mais pas de chez Ghini, de lui par contre.

Depuis que j'ai croisé sont autocar, les souvenirs me reviennent,  presque tout les mercredi je prenais les Transport Citroën, pour allez chez ma Grand-mère, quand javais loupé celui de la Compagnie des Transports Strasbourgeois à la gare de Strasbourg via Obernai à quarante kilomètres.
Je suis devenu fan des autocars, dommage que je n'avais pas d'appareil photos a l'époque car aujourd'hui je puise dans mes images souvenirs.

Un matin de l'an 2000, le travail commence, démontage complet de tous les panneaux rouillés, sans exceptions comme vous pouvez le constater vous mêmes.

Toute la rouille disparaitra, soit sous de nouveaux panneaux de tôles, soit le plancher complet couper, réparer, remplacer par du neuf, le reste est dérouiller à la brosse, au flex, puis surtout comme il le dit beaucoup d'huile de coude.

Il a un bon reflexe après chaque gros travail le soir, il regarde le travail fournis, étudie pour le lendemain le travail a fournir pour avancer petit à petit, le lendemain matin avant le démarage du travail, les photos à la lumière du jour, pour avoir des repères, des souvenirs, mais aussi pour prendre des mesures des futures tôles a remplacer.

Que dire de plus de ce travail de titan qui attend sagement sur Jean.

Un travail complet de carrosserie alors que ce n'est pas ça spécialité, mais un courage énorme d'entreprendre cette restauration complète.

Admirez le travail :

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Beaucoup de pièces neuves vont faire leurs apparition, il commande aussi des tôle neuves, de manière a pouvoir tout changer.

Il martèle, il façonne, il réalise des outils de pliage et de formage, avec des palans des verins, des chaines, des ustensiles incroyable furent utilisés pour en arriver au résultat voulu.

Il ne recule devant rien, même pas un petit bout rouillé, tout doit disparaitre, jour après jour l'ensemble ressemble de plus en plus a une carcasse, une structure tôle comme à l'usine à Cérisay.

Je vous assure il ne traine pas devant l'ampleur, il travail du matin dès qu'il fait jour, au soir à la lumière artificiel du hangar conçu spécialment pour avoir le double de place pour démonter, est stocker à coté, en miroir comme  un vrai pro.

Comme promis, je ne traine pas sur la longeur de la restauration. Il a fallut dix ans , au minimum 10 heures de travail par jour, vous calculez cela nous fait pas loin des 35000 heures, le samedi est même les dimanches.

Je continue avec la série de photos. On ne verra pas Jean en pleine action, c'est lui qui prenait toutes ces images.

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Chaque pièce et démonté, refaite a neuf notament toute la partie du train arrière, cela va du châssis, du support de pont au passage de roue, en passant par toute la structure arrière du cofrre à bagages.

Il ne voulait pas prendre de risque, l'ensemble tenait grâceà la rouille est au moment d'enlever cette rouille, il avait tout
par terre devant lui.

On voit aussi le morceau de bois ou plutôt l'outil de cintrage, qui servis comme gabarit pour les tôles des passages de roues. Le reste c'est pratiquement de la pièce droite, sauf le col de cygne du passage du pont arrière.

Plus de 30 m² de tôles furent remplacés, il ne récupérera rien car elles étaient vraiment percer de partout.

Je suis admiratif du soins apporter à chaque bout de tôle, soit de la tôle neuve, soit brosser puis tout de suite traité avec une couche antirouille verte de l'époque, puis elle changer de couleur est devient rouge brique.

Sur la deuxième photo a coté des lames de suspension repeintes, traine déjà les joints neufs de remplacement .

Comme il avait les documents des pièces détacher de chez Citroën, il courru les fournisseurs de pièces pour avoir ces pièces de rechange d'avance, d'ailleurs certains existent toujours. même 20 ans après.


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Impressionnant notre Jean,

Impréssionant cette restauration, il coupa sous les fenêtres toutes les tôles, y compris du chassis, aux renforts du plancher, les passages d'ailes avant & arrière, mais avec une minutie.

Pendant ce travail de titan, il reçu des visites de collègues, de personnalités du métier, tous sans exeption lui disait jamais tu n'aura le temps de tout faire et de tout finir avec cette rage de tout arracher de tout remplacer. Mais au fur et a mesure de l'avancement du travail bien fait, cela pris une autre tournure, surtout tout seul.
On lui faisait la remarque par rapport à d'autre retauration en court ailleur, qu'il avancer plus vite qu'une équipe complète.

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Ce n'ai pas finis, j'ai encore des photos impressionnantes, c'est surtout un gros chantier dù a sa taille , un autocar entier de presque 10 mètres de long,  9770 mm exactement sur 2840 de haut sur 2500 de large.

Mais notre Jean impertubable continue sont sauvetage de cette autocar, qui servais pour un lycée agricole, pour le ramassage et le transport des élèves toutes l'année.

Il le récupéra sans siege hélas, mais trouva des sièges neuf Chardon qu'il installa à la place.

Dans la foulé, avant d'attaqué la finition extérièure, la peinture complète, la révision du moteur, le réglage, le remontage des vitres avec des joints neufs, il remplaça même la porte avant , il ne savait pas ce qui tenait encore l'ensemble, même les charnières était irrécupérable. Qu'on on passera les détails des portes vous aurez tout compris.

Voilà que je m'embrouille avec les photos, elles repasent toutes deux fois dans le classeur de l'hébergeur, finallement c'est vrais, c'est un métier d'être rédacteur de presse. Cela me change de mon métier de prototypiste, bien que   
Là aussi, il faut tout s'avoir faire. je coupe l'article sinon je m'en sortirais plus.

je reviens ...

Pour avoir rencontré Jean à deux reprise, à Vanosc, en 2010 et 2013, à l'occasion de la fête du car, cet article, en revoyant les photos qu'il m'avait lui aussi montré, me fait immensément plaisir, tu ne peux savoir à quel point des passionnés plus que mordus d'autocars Citroën peuvent trouver une journée si courte à ne passer son temps qu'à parler de détails et d'observer des cars Citroën plus qu'un archéologue ne le ferait dans les grottes de Lascaux...

Nous attendons la suite, prend ton temps pour les photos et le récit, le plaisir ne sera que prolongé...

(J'ai remis le sujet dans la rubrique Type 55 et type 60, exclusivement réservé aux membres de U23 passion)

Merci pour votre patience et votre intervention.
Mais quand l'on regarde chaque photo, effectivement on peut se rendre compte du détail de la conception de ce car sur un simple châssis Citroën ( deux poutre ). Beaucoup plus simple qu'un Chausson ou qu'un Savien de la même époque.
C'est le spécialiste du car qui vous parle.

Néamoins Jean n'est pas a ça première restauration, il y connait un sacré rayon, moi ce que j'aime dans ce reportage
( de Jean ) en observant chaque étape de la restauration, il prévoyait déjà la suite du travail avec les pièces neuves qu'il allez acheter, ou fouiner dans des bourses aux pièces. Par bonheur le moteur ronronnait comme une horlage il la réglé correctement ce qui fait qu'il avait moins de soucis, sauf de le repeindre comme un neuf.,

La suite demain ...

Suite des travaux de restauration, le châssis complet est enfin finis, reste encore les deux poutres maitresse châssis en lui même, avec non seulement un traitement complet comprenant:
- le brossage -dérouillage -antirouille, mais aussi un renfort du col du cygne comme l'ensemble a été refait a neuf au niveau du train arrière pour des raisons de sécurité un col de cygne supplémentaire fut soudé par l'intérieur de chaque coté.
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Un grand vide à la place avant du chaffeur, mais tout rentre dans l'ordre !
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Je continu sur ma lancer ce matin entre deux tournages de pièces!
Oui je réalise une F1 en tôle d'aluminium de 0.5 ép. au 1/12 ème.( la grandeur d'un clavier )

Revenons au Car Citroën .......

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Une petite visite de courtoisie.

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Encore un petit effort Jean, tu arrive au bout de cette fameuse opération de survie . Pas loin de huit ans ce sont écoulés. Oui cela passe trop vite.

La pose de tous les panneaux droit de la carrosserie sous les fenêtres sont neuves traités, une nouvelle porte découpé dans un panneau en bois puis revétu d'une tôle intérieur - extérieur, fixation d'une commande pneumatique fait maison pour le fonctionnement de la porte.

Un plancher en sapin déjà traité dans la masse par bain à la base, plus une couche extérieur après la pose d'une couche de bitume sous le châssis.

Des garnitures de freins neuf, des cablages électriques neuf, une isolation neutre ensandwich recouvert d'isorel garnis de skai imitation cuir, du ton brun du plus bel effet, lavable.

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Quel régal... Plus le reportage continue, plus il est jouissif !

Il est vrai qu'en 1966, la face de cet Autocar T60, proche de la cabine "Relaxe" de Berliet, était moderne, en contrepartie de l'architecture classique sur châssis qui était déjà obsolète... Mais c'est ce qui fait le charme de cette merveille aussi...

Exact, mais un châssis réparable en changeant certaines pieces, longiligne, essayé de faire cela avec un chassis emboutie moderne type Chausson, vous arrêtez avant d'avoir finis !

Le plus beau va arrivé sous ces quelques images et je regrette de n'avoir pas plus de photos en court de restauration à vous proposer , certes c'est déjà plus qu' extraordinaire , mais mon métier a la  base de concepteur dans l'insdustrie avant l'outil informatique je le préscise bien, consiste a faire le plus simple possible avec un bout de fer, et je suis admiratif devant une simplicité pareil.

Aujourd'hui c'est du plastique chauffé dans des fours autoclave sous atmosphere égal à 0.
Que deviendrons ces pieces dans 50 ou 100 ans après un stockage au soleil ? Je ne serais plus là pour le voir, déjà les plastique c'est un gros problème. Bon je ne suis pas là pour vous faire un cours de Biodégradable, mais bien de mettre en valeur le travail d'un homme de la mécanique , amoureux fou de Citroën pour y avoir travailler.
Le corps l'esprit tout raisonne double Chevron.

Je précise bien toutes les photographies appartiennes à Jean, les miènnes viendront après la peinture de la carrosserie je n'en dit pas plus, admiré comme le peintre, qui n'est pas peintre du tout, observe sont engin pour savoir par quelles faces il va attaquer sont travail!

Pour ceux d'entres vous qui ont peinturluré la première fois savent de quoi je parle. Il ne faut pas s'endormir, sinon il n'y a plus de peinture , puis votre peinture ressemblera plus a une oeuvre moderne, rugeuse, nuancer, terne, mat, et par endroit dégoulinant sans compter les petites bébétes qui s'accrochent attirés par livresse des solvants.
Mais Jean à choisi sont jour, sec, sans vent, un peu frais , tout ce qu'il faut pour réussir une bonne peinture.



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J'adore ces poses l'objet va recevoir sa robe sont habillage, snif.

J'ai rajouté la première exposition du car de Jean, sont Citroën 60 de chez Heuliez, c'est une référence qui hélas va disparaitre au profit dont on devine la suite. ( Je parle de Heuliez à Cerisay ).

Je précisse aussi que notre Grand Jean au moment des phases de tôleries à modifier ou tout simplement supprimés la porte coté conducteur.

Pourquoi ?
C'est très simple pour des raisons de simplification de tolerie, puis Jean n'étant pas un homme de grande taille
n'arrive pas aussi facilement a enjamber un seuil immense, il préfère passer par la porte des voyageurs comme tout le monde.

Pour aujourd'hui ce sera tout , mais je reviens vous donner des détails croustillants sur cette affaire.

Bonsoir,
Super restauration qui fait plaisir a voir.
Merci de bien vouloir me donner les références de la peinture verte que vous avez utiliser, ce souhaite refaire l'intérieur du fourgon de pompier dans la même teinte.
Cordialement,
Régis Delhomme

Concernant la teinte verte, il faut que je me renseigne auprés de Jean, moi je ne la connais pas, désolé.
Merci du compliment je transmet.

J'ai eu Jean ce soir au téléphonne pendant plus d'une heure, je lui demandais des renseignements qui mon échappé lors de sa dernière visite chez moi, pour écrire les anécdotes sur le car.

Concernant la découverte de cette autocar Citroën ce fut par un pur hasard dans le Jura, il c'était trompé de route est fit un détour en allant a une compétition de judo avec sa famille. Au lieu d'assister a la compétition il pretexta que sa voiture n'était pas bien garé, retourna à la lisière de la forêt a 200 mètres en recul, il pris le numéro de plaque, mais s'aperçu qu'il y avait une étiquette des domaines derrière le pare brise.
C'est le lycée agricole de la région de Lons le saunier qui se servait du car pour transporter tous les jours les élèves a la ferme de Montmorot aller & retour donc très peu de kilomètres en soit.